Troisième jour dans cette ville qui ne peut que marquer les esprits et les coeurs.
Lever ce matin à 5 heures pour parcourir, dans le calme de l'aube, les quatorze stations du chemin de croix de la Via Dolorosa au Saint-Sépulcre. Avec, en point d'orgue, la messe des pères franciscains concélébrée, devant le tombeau du Christ, par Dominique et Conrad.
Après le petit déjeuner et la visite du mur des Lamentations, direction Yad Vashem et le mémorial de la Shoah. Emotion en traversant la grotte à la mémoire des enfants victimes de l'Holocauste, dans l'obscurité éclaircie par quelques lampes réfléchissantes et dans un silence simplement rompu par l'énonciation du nom de tous ces enfants victimes. Et pour finir traversée de l'allée des Justes parmi les nations.
Après-midi libre et, pour nous, balade sur les remparts et découverte des toits des quartiers chrétien et musulman de la vieille ville.
Jérusalem, ville de contrastes, de dialogue et aussi d'espérance et de paix, dont une image marquante, destructrice de tous les préjugés, restera celle du visage souriant de ce jeune enfant musulman qui a couru pour me remettre un billet de 50 shekels tombé de ma poche par inadvertance.
Martine et Christophe
Lever ce matin à 5 heures pour parcourir, dans le calme de l'aube, les quatorze stations du chemin de croix de la Via Dolorosa au Saint-Sépulcre. Avec, en point d'orgue, la messe des pères franciscains concélébrée, devant le tombeau du Christ, par Dominique et Conrad.
Après le petit déjeuner et la visite du mur des Lamentations, direction Yad Vashem et le mémorial de la Shoah. Emotion en traversant la grotte à la mémoire des enfants victimes de l'Holocauste, dans l'obscurité éclaircie par quelques lampes réfléchissantes et dans un silence simplement rompu par l'énonciation du nom de tous ces enfants victimes. Et pour finir traversée de l'allée des Justes parmi les nations.
Après-midi libre et, pour nous, balade sur les remparts et découverte des toits des quartiers chrétien et musulman de la vieille ville.
Jérusalem, ville de contrastes, de dialogue et aussi d'espérance et de paix, dont une image marquante, destructrice de tous les préjugés, restera celle du visage souriant de ce jeune enfant musulman qui a couru pour me remettre un billet de 50 shekels tombé de ma poche par inadvertance.
Martine et Christophe